8 juillet 2020
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Noëlle de Grandsaigne
Si vous n'avez pas eu l'occasion de la découvrir durant l'exposition de la MAC'A qui s'est tenue à Avignon au mois de mars 2020, faites donc un saut à l'Isle sur la Sorgue pour découvrir son univers.
Tout le mois de juillet, vous pouvez voir quelques unes de ses boîtes au 1er étage du village des Antiquaires de la Gare, 2 bis Avenue de l'Egalité (face à la gare).
Son travail s'inspire des films noirs américains des années 50. Passionnée par le monde du tout petit, elle réalise des "boîtes" et imagine le parcours de son personnage qu'elle appelle "Monsieur De"...
Myriam Louvel
Si vous n'avez pas eu l'occasion de la découvrir durant l'exposition de la MAC'A de mars 2020, vous pouvez retrouver quelques unes de ses créations au village des Antiquaires de la Gare (exposition située au 1er étage).
Partant d'un matériau brut qu'elle brode, l'artiste transforme le fil de fer galvanisé en structures d'une apparente fragilité qui attirent le regard... Le fil de fer devient crayon mine et les formes s'inscrivent dans l'espace...
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18 juin 2020
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Bonjour,
Une proposition de sortie de « proximité » : Depuis le 2 juin 2020, l'artiste Dominique HERAUD expose une série de gravures récentes au Musée des Alpilles , 1 Place Favier à Saint-Rémy-de-Provence.
Le Musée est ouvert du mardi au dimanche inclus de 10h à 17h ( et 18h tout l' été) sans interruption.
Deux bonnes nouvelles :
- L'artiste est présent pour vous accueillir et vous parler de son travail tous les mercredi de 14h à 17h .
- L'entrée du Musée est gratuite jusqu’au 30 août 2020.
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10 mai 2020
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6 mai 2020
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Comme promis... le tirage au sort de la tombola, effectué samedi 2 mai. L'urne était modestement pleine... Néanmoins une gagnante... Madame Florence USCLAT !
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24 avril 2020
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30 mars 2020
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C'est à l'occasion du dernier festival d'art urbain, le K-LIVE, organisé chaque année courant juin à Sète que j'ai découvert le travail de Matthieu Dagorn.
Il exposait quelques œuvres à la galerie "Le Réservoir" qui, à cette occasion, faisait la part belle à l'art urbain en présentant le travail d'une vingtaine d'artistes issus du Street Art.
Tout de suite ses trois masques et ses deux tableaux de forme tridimensionnelle m'ont attirée. Voilà un artiste qui laisse de côté les peintures à plat sur les murs pour créer des œuvres en volume en utilisant des bandes de papier multicolores, du bois ou du plastique.
Je suis allée très vite voir sur divers sites internet s'il avait réalisé d'autres œuvres de ce type et ma curiosité a été récompensée. J’y ai trouvé de nombreuses installations qu’il a réalisées en utilisant des matériaux recyclés et qui m’ont donné envie de lui donner carte blanche.
Myriam Beuché - membre de la MAC'A
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26 mars 2020
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Jean-François Auber, plasticien curieux de toutes les techniques les plus diverses nous enchante par sa virtuosité à manier les matériaux les plus variés.
Par des techniques très personnelles, il redonne vie à la matière, pratiquant par exemple la « fossilisation » du papier.
En totale résonance avec le souci écologique actuel, il fait renaître la matière qui aurait pu être ignorée, ostracisée, jetée… Ainsi, le bois transformé en papier, retrouve sa texture originelle dans une troisième vie.
Plaisir esthétique.
Bienveillance envers la nature.
Son travail, porteur de sens, se regarde et parfois même s’écoute. Quand les « cornets sonores » nous font entendre les bruits du monde, l’imagination est à son comble.
Et il est dans ce que tout artiste devrait susciter : le mystère qui laisse place à l’imaginaire.
Robert GUILLOT - membre de la MAC'A
Cornet sonore, Chute (détail), Chute
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25 mars 2020
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La Matière me dévoile... à mon insu.
Elle me surprend petit à petit par son imprévisibilité, me fait vibrer par sa magie, par sa puissance et sa légèreté, sa force et sa fragilité.
Miroir de mon intime, la Matière joue au gré de mes humeurs, s’ouvre ou bien se ferme, se déploie ou bien se fêle ;
Elle me protège, Elle m’élève aussi.
Elle me propose de m’asseoir dans le présent, Elle m’invite à goûter l’impermanence,
Elle me pousse à me rencontrer, à me vivre, à être moi.
Et je lui offre toute ma gratitude...
Par la Matière brute, je me laisse emporter et surgissent des pics, des bosses et des creux ; Ou bien je me laisse adoucir et naissent des gouttes semblables à des perles de rosée ; je l’embellis de gravures, je l’orne d’or.
Sa délicatesse m’envahit et je m’amuse avec elle dans des jeux de lumière, je l’allie à diverses textures et matériaux : le bois, le fil de fer, souvent la révèlent, la subliment....
Territoire (porcelaine bois), Territoire inoccupé (porcelaine, bois), Territoire racine n°1 (porcelaine, feuille d'or)
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22 mars 2020
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Credo du sculpteur (extraits)
Il y a que sculpter est un acte qui nécessite
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- humilité et orgueil
- patience et colère
- solitude et amis nombreux
- rigueur et aventure
- confiance en soi et doute permanent
- corps et âme
- rêverie et cœur à l'ouvrage
- sa tête et ses bras…
Il y a que vivre sans sculpter ne serait pas vivre…
Equation 35 / Equation 48 / Equation 49
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20 mars 2020
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14:48
Partant d’un matériau brut qu’elle brode, Myriam Louvel transforme le fil de fer galvanisé en structures d’une apparente fragilité qui attirent le regard et le laissent errer dans les méandres de ces entrelacs. Le fil de fer devient crayon mine et les formes s’inscrivent dans l’espace, le découpant et ménageant des espaces intérieurs pour mieux y plonger et être comme happé par l’émotion. Car les œuvres, comme leurs titres l’indiquent, Les échafaudées, Les échappées belles, Les micmacs sont autant d’espaces laissés à chacun pour « respirer » comme aime à le dire l’artiste.
Inscrit dans le temps, le travail s’est épuré. Pour recréer, pour redonner vie, Myriam Louvel commence par assembler les tessons d’une bouteille et la reconstruit grâce au fil de fer qui, tel un carcan, l’enserre mais l’air ne passe plus ; c’est alors qu’elle l’évide pour ne plus laisser que la structure dans laquelle vont passer les vibrations de l’air et nos émotions.
Le livre, quadrilatère évidé devient pure pensée et s’inscrit en volume, en à-plat, en rosace.
Les fonds de verre se transfigurent en un fin tissage et se multiplient.
L’ombre portée sur le mur laisse un espace et le regard se perd pour laisser place à l’intériorité. Broderie dans l’espace pour mieux cheminer vers la spiritualité, telle est la démarche de Myriam Louvel.
Dominique Bonnet - membre de la MAC'A
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